« J'écris comme j'aime. »
Ces lettres aux trois hommes que l'écrivaine nomade Isabelle Eberhardt a le plus aimés - son frère Augustin, qui se suicida ; son confident Ali Abdul Wahab ; et son mari Slimène Ehnni - nous font pénétrer dans l'intimité d'un être étrange, objet de scandale et de ferveur, une femme qui, à vingt ans, parle d'elle au masculin et tourne le dos à l'Europe de la Belle Époque pour accomplir son rêve de fusion avec le désert. Jamais elle ne céda sur son désir. Elle était de ces personnes rares capables de ressusciter la part d'audace qui somnole en chacun de nous. Sa correspondance se lit comme le récit d'un fulgurant voyage : six années d'errance imaginaire et réelle jusqu'à sa mort, à vingt-sept ans, dans les eaux d'un oued en crue.
L'ouragan Ophelia menace New York. Tous s'apprêtent à affronter la tempête. Alors qu'Ellen tente de convaincre sa mère de quitter son appartement, Peter et Ben, deux étudiants, trépignent d'impatience d'assister au spectacle. Mais le déluge s'abat sur la ville et emporte tout avec lui. Dans un hôpital sans électricité, Juliette ne peut plus soigner ses patients. Charles ne retrouve ni ses deux filles ni son ex-femme. Bientôt, les eaux montent. La nuit sera longue...
Une centaine d'ouvrages publiés en France, 800 millions d'exemplaires vendus à travers le monde : Danielle Steel est un auteur dont le succès ne se dément pas depuis maintenant plus de trente ans.