Naïma Amine

Les jacarands de Lafayette

ISBN: 9789938077438

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Mais pour Farès , il est autrement plus agréable de déambuler sur le tapis formé plus loin , dans l'avenue de la liberté ou dans l'avenue Alain Savary par exemple, par les petites clochettes bleues que les jacarandas parsèment sur le sol au printemps.Ces arbres exotiques aux feuilles dentelées et finement ciselées , venus d'ailleurs, d'Amrique du Sud , admirés par Farès et par tous les riverains , se sont bien acclimatés à la Tunisie , ils portent aussi le nom original et bien mérité de << flamboyants>> , car ils deviennent en effet en cette saison un véritable plaisir pour les yeux quand ils se parent de fleurs d'un bleu lavande, embellissant et égayant les rues parfois banales dans lesquelles ils poussent par cette splendide floraison , visible de loin, à la belle couleur issue d'un mariage heureux de rouge et de bleu , et leur donnant un cachet particulier ....

Editeur
Éditions Arabesques
Langue
français
Nombre de pages
166
Date de parution
2023
Auteur
Naima Amine

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Elle est célèbre dans le monde entier mais combien connaissent son nom ? On peut admirer sa silhouette à Paris, New York ou Copenhague, mais où est sa tombe ? On ne sait que son âge, quatorze ans, et le travail qu'elle faisait, car c'était déjà un travail, à cet âge où nos enfants vont à l'école. Dans les années 1880, elle dansait comme petit rat à l'Opéra de Paris ; mais comme elle était pauvre et que son labeur ne suffisait pas à la nourrir, elle ni sa famille, elle posait aussi pour des peintres ou des sculpteurs. Parmi eux, il y avait Edgar Degas.

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Que peut-on dire de nouveau sur un conflit de plus de cinquante ans, dont les paramètres de solution sont aujourd'hui connus par la communauté internationale ? MM. Hessel et Sanbar se sont accordés sur une démarche originale : retracer et analyser le cours des événements qui ont conduit à l'actuelle impasse et s'interroger sur le rapport entre légalité internationale et justice historique. Tous deux reviennent, au cours de leur échange, et dans le même souci de combiner témoignages et réflexions, sur les grandes dates du conflit.

Elias Sanbar, né à Haïfa en 1947, s'est aussitôt retrouvé sur les routes de l'exil. Il parle du sentiment d'incompréhension et d'injustice qu'il partage avec son peuple. Stéphane Hessel, ancien résistant et déporté à Buchenwald, était diplomate à l'ONU lors de la création d'Israël, à laquelle il était favorable. Il avoue avoir des réserves depuis la guerre des Six Jours, où Israël ne peut plus justifier ses attaques par la légitime défense. Il pointe du doigt l'impunité du pays qui, en continuant la colonisation malgré les traités de paix, se place dans l'illégalité par rapport au droit international. Plus tard, ce sont ses liens avec des oligarchies financières du monde entier qui l'indignent.

En analysant les causes du conflit et les éléments qui ont empêché les négociations d'aboutir, MM. Hessel et Sanbar parviennent encore à trouver des raisons d'espérer. Sur la possibilité même d'un État palestinien, ils posent comme préalable le retrait des colonies en Cisjordanie. Ils préconisent de former une région forte, où Israël et la future Palestine pourraient vivre ensemble sereinement. Stéphane Hessel, lui, en appelle au réveil du peuple israélien, dans la lignée du printemps arabe. Les auteurs finissent par sortir le conflit de son caractère exceptionnel de bataille pour une terre sainte, trop lourd à porter, et prônent un retour à la banalité, condition sine qua non de la fin de l'impunité israélienne.

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