Premier roman d'une trilogie qui retrace de façon magistrale la vie et les mœurs de la Chine au XIXè siècle, La Terre chinoise est dominée par le personnage d'O-len, laide, taciturne et courageuse, tout entière dévouée à son devoir. Admirable personnage de femme au silence héroïque, à l'abnégation totale. Un grand roman, une figure inoubliable.
Pearl Sydenstricker (épouse Buck) est une femme de lettres américaine.
Ses parents, presbytériens partent pour la Chine alors qu'elle n'a que trois mois. Elle apprendra donc le mandarin avant l'anglais. En 1911 elle rentre aux États-Unis et obtient son diplôme du Randolph Macon Women’s College de Lynchburg en Virginie en 1914.
De retour en Chine, Pearl Sydenstricker, devient professeur d'anglais dans un lycée et épouse en 1917, John Lossing Buck, un missionnaire, ingénieur agronome américain, avec qui elle part à Suzhou, dans l'Est de la Chine.
Il était une fois la ville de Paris. Il était une fois une rue Broca. Il était une fois un café kabyle. Il était une fois un Monsieur Pierre. Il était une fois un petit garçon qui s'appelait Bachir. Il était une fois une petite fille. Et c'est ainsi que, dans ce livre, vous allez faire la connaissance d'une sorcière, d'un géant, d'une paire de chaussures, de Scoubidou, la poupée voyageuse, d'une fée, et que vous saurez enfin la véritable histoire de Lustucru et de la mère Michel. Les sorcières et les fées d'aujourd'hui, narrées par le génial conteur et ses petits voisins de la rue Broca, à Paris. Pierre Gripari s'amuse à brouiller les pistes et le lecteur s'amuse avec lui.