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ISBN: 9782700041224
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Un matin, alors que Victor et Jo travaillent à l'atelier, ils découvrent un mystérieux petit animal. C'est Fred le raton laveur, qu'ils adoptent aussitôt. Il s'installe à l'atelier. Débordant de bonne volonté, toujours prêt à aider même quand on ne le lui demande pas, il vit à leurs côtés une foule d'aventures des plus divertissantes. Les magnifiques illustrations d'Eric Kincaid inciteront les enfants de 5 à 9 ans, à découvrir ces textes merveilleux, pleins de fantaisie.
Jamaica Kincaid, originaire des Petites Antilles et souvent comparée à Toni Morrison, compte parmi les grandes voix de la littérature américaine. Avec Lucy, elle poursuit une oeuvre insolite en prêtant sa voix à une jeune Antillaise de dix-neuf ans, prisonnière de son incapacité à aimer et à adhérer aux événements de sa vie.
À New York, la jeune Alma ne sait comment surmonter la mort de son père. Elle croit trouver la solution dans un livre que sa mère traduit de l'espagnol, et dont l'héroïne porte le même prénom qu'elle. Non loin de là, un très vieil homme se remet à écrire, ressuscitant la Pologne de sa jeunesse, son amour perdu, le fils qui a grandi sans lui. Et au Chili, bien des années plus tôt, un exilé compose un roman... Trois solitaires qu'unit pourtant, à leur insu, le plus intime des liens : un livre unique, L'Histoire de l'amour, dont ils vont devoir, chacun à sa manière, écrire la fin. Cet admirable roman, hanté par la Shoah, offre une méditation déchirante sur la mémoire et le deuil. Mais c'est avant tout un hymne à la vie, écrit dans une langue chatoyante et allègre, l'affirmation d'un amour plus fort que la perte, et une célébration, dans la lignée de Borges, des pouvoirs magiques de la littérature. Il impose d'emblée Nicole Krauss comme une romancière de tout premier plan.
"Tout le monde riait. Les Manoscrivi riaient. C'est l'image d'eux qui est restée. Jean-Lino, en chemise parme, avec ses nouvelles lunettes jaunes semi-rondes, debout derrière le canapé, empourpré par le champagne ou par l'excitation d'être en société, toutes dents exposées. Lydie, assise en dessous, jupe déployée de part et d'autre, visage penché vers la gauche et riant aux éclats. Riant sans doute du dernier rire de sa vie. Un rire que je scrute à l'infini. Un rire sans malice, sans coquetterie, que j'entends encore résonner avec son fond bêta, un rire que rien ne menace, qui ne devine rien, ne sait rien. Nous ne sommes pas prévenus de l'irrémédiable."