Le célèbre texte d'Epicure, suivi de son analyse critique et d'un dossier sur la notion de bonheur. Dans une édition spécialement conçue pour les élèves de Tle. Le texte Le bonheur est la fin de l'existence humaine. Qui le niera ? Mais il est plus difficile de tirer au clair les moyens d'y parvenir. Il faut lire ce texte inoubliable pour découvrir que la pensée et l'amitié sont les seuls vrais havres du sage. Pour être heureux, renouons avec Epicure. L'analyse critique Structurée sous forme de fiches, l'analyse qui suit permet de situer le texte et d'en percevoir tous les enjeux philosophiques. Le dossier sur la notion de bonheur. En lien avec le texte d'Epicure, il permet d interroger une des notions clés du programme, il comprend à la fois : des textes échos de Diogène Laërce, Lucrèce, André Comte-Sponville, Jean Salem. Des sujets problématisés : Peut-on se donner comme règle morale de suivre la nature ? Une vie heureuse n'est-elle qu'une vie de plaisirs ? Craindre la mort, est-ce souffrir pour rien ?
Y a-t-il des êtres humains ailleurs que dans notre galaxie ? C'est la question que se posent le professeur Antelle, Arthur Levain, son second, et le journaliste Ulysse Mérou, lorsque, de leur vaisseau spatial, ils observent le paysage d'une planète proche de Bételgeuse : on aperçoit des villes, des routes curieusement semblables à celles de notre Terre. Après s'y être posés, les trois hommes découvrent que la planète est habitée par des singes. Ceux-ci s'emparent d'Ulysse Mérou et se livrent sur lui à des expériences. Il faudra que le journaliste fasse, devant les singes, la preuve de son humanité.
Agota Kristof est née en Hongrie, d'où elle s'est enfuie en 1956. Installée depuis lors à Neufchâtel, en Suisse, elle écrit d'abord des pièces de théâtre, avant de commencer sa trilogie romanesque directement en français, la langue de son exil. Le Grand Cahier en est le premier volet, suivi de La Preuve et Le Troisième mensonge, prix du Livre Inter 1992.
Heureux d'échapper à la monotonie de son académie militaire, le lieutenant Drogo apprend avec joie son affectation au fort Bastiani, une citadelle sombre et silencieuse, gardienne inutile d'une frontière morte. Au-delà de ses murailles, s'étend un désert de pierres et de terres desséchées, le désert des Tartares. À quoi sert donc cette garnison immobile aux aguets d'un ennemi qui ne se montre jamais ? Les Tartares attaqueront-ils un jour ? Drogo s'installe alors dans une attente indéfinie, triste et oppressante. Mais rien ne se passe, l'espérance faiblit, l'horizon reste vide. Au fils des jours, qui tous se ressemblent, Drogo entrevoit peu à peu la terrible vérité du fort Bastiani.