- Rupture de stock
ISBN: 9782012026315
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Julie et Paul s’ennuient tellement au village de Nulpar que le temps s’étire et s’étire… Et s’ils allaient faire un tour dans la cabane abandonnée, au fond du jardin ? Le mystérieux fauteuil à bascule qu’ils y découvrent, caché sous la poussière, pourrait bien leur faire vivre des aventures… magiques !
"C'est le roman d'un jour. Le roman d'un siècle, mesuré à un jour. Qui veut s'approcher des mariages, des fêtes, des naissances, des ruptures, des glissements politiques, des guerres, des langues oubliées, de la musique dans les maisons, des malentendus, des illusions, des taches de soleil, du battement des secondes, des scènes sans importance, d'un baiser dans l'après-midi, d'un corps qui tombe.Il veut caresser les échos et les répétitions d'un geste ou d'un prénom dans des familles qui ne se connaissent pas. C'est un roman qui nomme les carrefours, les angles, les croisements, les couloirs, les grilles d'immeubles, les escaliers, les portes cochères, les minuscules canaux, tout ce qui trace le coeur d'une ville.C'est un roman qui a six ans au début de la phrase et quatre-vingt-deux au bout de la ligne. Le ciel est rose, il fera chaud demain, les étourneaux se faufilent dans les ficus de l'Avenue, les hommes sont assis au fond des cafés, ils n'ont pas bougé depuis cent ans. C'est l'Avenue de France, à Tunis, en 1885, mais c'est aussi Paris, Place de la Nation, en 2001."
Les voilà, encore une fois : Billaud, Carnot, Prieur, Prieur, Couthon, Robespierre, Collot, Barère, Lindet, Saint-Just, Saint-André. Nous connaissons tous le célèbre tableau des Onze où est représenté le Comité de salut public qui, en 1794, instaura le gouvernement révolutionnaire de l'an II et la politique dite de Terreur. Mais qui fut le commanditaire de cette oeuvre ? À quelles conditions et à quelles fins fut-elle peinte par François-Élie Corentin, le "Tiepolo de la Terreur" ? Mêlant histoire et fiction, Michon fait apparaître, avec la puissance d'évocation qu'on lui connaît, les personnages de cette "cène révolutionnaire", selon l'expression de Michelet qui, à son tour, devient l'un des protagonistes du drame.
Le fantôme qui hante le manoir de Canterville depuis trois siècles est désespéré ! Les nouveaux propriétaires, deriches américains, ne croient pas aux esprits. Vexé, le pauvre fantôme agite ses chaînes et laisse même une trace de sang dans le salon. Parviendra-t-il à prouver son existence en semant la terreur ?