ABHATH NEDIRA LI ACHAYKH MOHAMED

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Frère d'âme

27.600 د.ت.‏
Availability: 2 In Stock

Moi, Alfa Ndiaye, dernier fils du vieil homme, j'ai vu les obus malicieux, les ennemis aux yeux bleus, le ventre ouvert de mon plus que frère, Mademba. Par la vérité de Dieu, j'ai entendu le capitaine Armand et son sifflet de mort, les cris des camarades. Ils disent que je mérite une médaille, que ma famille serait fière de moi. Moi, Alfa Ndiaye, dernier fils du vieil homme, je suis tirailleur sénégalais.

Né à Paris en 1966, David Diop a grandi au Sénégal. Il est actuellement maître de conférences à l'université de Pau.

" Un texte d'une puissance déchirante."

Libération

" Une langue obsédante, chantante, gorgée de métaphores et d'allégories. "

L'Obs



Retrouvez le dossier pédagogique dédié au roman Frère d'âme en cliquant ici.

Sulak

39.600 د.ت.‏
Availability: Out of stock

Flics ou voyous, nul n'a oublié Sulak, garçon charmant, généreux, intègre. Accessoirement l'homme le plus recherché des années 1980. Déserteur de la Légion (l'avenir tout tracé, non merci), il braque des supermarchés avant de dévaliser les grands bijoutiers, de Paris à Cannes. Le fric, il s'en fout, il hait la violence : il veut épater. Itinéraire d'un gentleman cambrioleur doublé d'un roi de l'évasion.



Romancier français né en 1964, Philippe Jaenada est l'auteur du Chameau sauvage (prix de Flore 1997). Les Brutes, Plage de Manaccora, 16 h 30 et La Femme et l'Ours sont notamment disponibles en Points.



" Jaenada puise dans les mots comme Sulak dans les vitrines de chez Cartier. [...] Tout Sulak est là : provocation, efficacité et "douceur'. "

L'Express

L'art français de la guerre

50.000 د.ت.‏
Availability: 5 In Stock

"J'allais mal ; tout va mal ; j'attendais la fin. Quand j'ai rencontré Victorien Salagnon, il ne pouvait être pire, il l'avait faite la guerre de vingt ans qui nous obsède, qui n'arrive pas à finir, il avait parcouru le monde avec sa bande armée, il devait avoir du sang jusqu'aux coudes. Mais il m'a appris à peindre. Il devait être le seul peintre de toute l'armée coloniale, mais là-bas on ne faisait pas attention à ces détails. Il m'apprit à peindre, et en échange je lui écrivis son histoire. Il dit, et je pus montrer, et je vis le fleuve de sang qui traverse ma ville si paisible, je vis l'art français de la guerre qui ne change pas, et je vis l'émeute qui vient toujours pour les mêmes raisons, des raisons françaises qui ne changent pas. Victorien Salagnon me rendit le temps tout entier, à travers la guerre qui hante notre langue." Alexis Jenni.

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