"Je suis née en 1940 dans un harem à Fès, ville marocaine du VIIIe siècle, située à cinq mille kilomètres à l'ouest de La Mecque, et à mille kilomètres au sud de Madrid, l'une des capitales des féroces chrétiens". Ainsi commence le récit de Fatima Mernissi, cascades de contes d'une enfance où merveilleux et quotidien se côtoient et s'embrouillent. Habiba, l'illettrée qui récite par coeur Les Mille et Une Nuits, est-elle réelle ou fictive ? Et Tamou, la cavalière rifaine qui surgit du Nord, bardée d'armes et de bijoux ? Et Charna, et la princesse Boudour ? Qui sait ? L'écrivain elle-même est incertaine : "C'est un récit sur les frontières, elles bougent par définition!"
La villa est magnifique, l'été brûlant, la Méditerranée toute proche. Cécile a dix-sept ans. Elle ne connaît de l'amour que des baisers, des rendez-vous, des lassitudes. Pas pour longtemps. Son père, veuf, est un adepte joyeux des liaisons passagères et sans importance. Ils s'amusent, ils n'ont besoin de personne, ils sont heureux. La visite d'une femme de cœur, intelligente et calme, vient troubler ce délicieux désordre. Comment écarter la menace ? Dans la pinède embrasée, un jeu cruel se prépare.
C'était l'été 1954. On entendait pour la première fois la voix sèche et rapide d'un " charmant petit monstre " qui allait faire scandale. La deuxième moitié du XXe siècle commençait. Elle serait à l'image de cette adolescente déchirée entre le remords et le culte du plaisir.
Des histoires issues de croyances populaires d'un peu partout, ici un conte venu d'Inde, afin de rêver à un monde meilleur...
Il n'est jamais trop tôt pour ouvrir les enfants à la philosophie ! Ces petits contes, aux illustrations colorées, sont racontés simplement afin d'être accessibles à tous. Le conte de " la jarre " trouverait son origine en Inde et raconte l'histoire d'un jeune porteur d'eau s'obstinant à garder une jarre dont le contenu fuit jour après jour. Un conte positif et coloré où ce que l'on pense " inutile " ne l'est peut-être pas tout à fait finalement... " Des failles et des petites fêlures naissent parfois les plus beaux jardins. " Afin de favoriser l'estime de soi, nos petits défauts deviennent dans ce récit, nos plus belles chances.
En vue des examens de fin de trimestre, le proviseur Asano décide de prendre en main la classe A ! Mais son fils, Gakushu, voyant l'ambiance anormale qui est en train de s'installer dans sa classe qui voue une haine farouche à la classe E, va faire une étonnante demande aux élèves de M.Koro !