Tout avait commencé. de la faç.on la plus classique qui soit : un prince dé.chu cherchant à. ré.cupé.rer son trô.ne sollicite l'.appui discret des Britanniques. En somme, une banale man&oelig.uvre politico-financiè.re. Mais les choses se compliquent lorsqu&rsquo.un ancien ministre du prince meurt en laissant derriè.re lui des Mé.moires bourré.s de ré.vé.lations explosives sur la famille royale. Tous, les services secrets anglais comme les opposants au prince, cherchent à. mettre la main sur ce manuscrit. C'.est dans le cadre somptueux du manoir de Chimneys, une vieille demeure seigneuriale, que vont se retrouver les protagonistes de cette sombre affaire. Un manoir où. les cadavres vont rapidement faire dé.sordre&hellip.
Traduction ré.visé.e de Pascal Guinard  .
Disparu dans le port de La Havane en 1939, un Rembrandt est repéré dans une vente aux enchères à Londres. Propriété de sa famille dès le XVIIe siècle, le tableau a une valeur inestimable pour Elías Kaminsky. Il lui rappelle le destin tragique de ses aïeux, déportés alors qu'ils tentaient de rejoindre Cuba. Qui mieux que le désabusé Mario Conde pourrait partir sur les traces du chef-d'oeuvre ?
Né à La Havane en 1955, Leonardo Padura est romancier, scénariste et journaliste. Il est notamment l'auteur de L'Automne à Cuba, Électre à La Havane, Adios Hemingway, Les Brumes du passé et L'homme qui aimait les chiens, disponibles en Points.
" Avec ampleur et érudition, Leonardo Padura plonge au cœur de la création et interroge sur le libre arbitre de l'homme. Une fresque magnifique. "
Hajime est un homme accompli, père de famille et heureux propriétaire d'un club de jazz de Tokyo. Lorsqu'un beau jour, son amour d'enfance, Shimamoto-san, surgit dans son bar. Les retrouvailles avec cette femme insaisissable, qui n'apparaît que les jours de pluie, plongent Hajime dans l'abîme d'une quête obsédante, contre la course du temps et des sentiments...
" Haruki Murakami, l'un des grands noms de la littérature contemporaine japonaise, signe là un roman intimiste envoûtant et bouleversant. " Claire Julliard, Le Nouvel Observateur
Traduit du japonais par Corinne Atlan
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