

Lorsqu'elle arrive à Auschwitz, sous un ciel bas et gris, Ana est persuadée qu'elle ne survivra pas à l'enfer du camp. Mais elle possède une compétence que les nazis recherchent : elle est sage-femme. Son travail sera de donner naissance aux enfants des autres prisonnières. Une mission terrible car, dès qu'ils ont poussé leur premier cri, les nouveau-nés sont emmenés et donnés à des familles allemandes.
Malgré la détresse de ces femmes à qui on vole leurs bébés, Ana essaie d'apporter un peu de réconfort autour d'elle. Et puis un jour, elle réalise qu'elle peut faire plus. Secrètement, elle tatoue les petits avec les numéros de déportées de leurs mères. C'est une lueur d'espoir dans ce monde d'une infinie noirceur : et si, après l'horreur de la guerre, grâce à ce petit geste, ces enfants et leurs mères pouvaient se retrouver ?
Frantz Fanon (1925-1961), psychiatre antillais, a été militant de l'indépendance algérienne au sein du FLN.
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