Robin Norwood

Ces femmes qui aiment trop - Tome 2

ISBN: 9782290335635

32,000 TND

Quantité
Add to wishlist
En attente de réapprovisionnement

  Garanties sécurité

(à modifier dans le module "Réassurance")

  Politique de livraison

(à modifier dans le module "Réassurance")

  Politique retours

(à modifier dans le module "Réassurance")

Guarantee safe & secure checkout

Comment rompre avec la dépendance amoureuse ? Comment retrouver confiance en soi après des échecs affectifs ? C'est à ces questions que tente de répondre ce livre, suite du best-seller Ces femmes qui aiment trop, paru aux Éditions J'ai lu. Robin Norwood a rassemblé les témoignages de nombreuses femmes et explore leurs parcours. Elle explique comment elles ont réussi à briser ce cercle infernal, à redevenir elles-mêmes, à s'aimer mieux pour mieux aimer. Indispensable et bouleversant, ce livre s'adresse à toutes celles qui veulent établir une relation harmonieuse et durable.

Editeur
J'AI LU
Langue
français
Nombre de pages
375
Date de parution
2003
Auteur
Robin Norwood

Nos lecteurs ont également choisi

Une femme à Berlin

40,000 TND
Availability: Out of stock

La jeune Berlinoise qui a rédigé ce journal, du 20 avril 1945 - les Soviétiques sont aux portes - jusqu'au 22 juin, a voulu rester anonyme, lors de la première publication du livre en 1954, et après. À la lecture de son témoignage, on comprend pourquoi. Sur un ton d'objectivité presque froide, ou alors sarcastique, toujours précis, parfois poignant, parfois comique, c'est la vie quotidienne dans un immeuble quasi en ruine, habité par des femmes de tout âge, des hommes qui se cachent : vie misérable, dans la peur, le froid, la saleté et la faim, scandée par les bombardements d'abord, sous une occupation brutale ensuite. S'ajoutent alors les viols, la honte, la banalisation de l'effroi. C'est la véracité sans fard et sans phrases qui fait la valeur de ce récit terrible, c'est aussi la lucidité du regard porté sur un Berlin tétanisé par la défaite. Et la plume de l'auteur anonyme rend admirablement ce mélange de dignité, de cynisme et d'humour qui lui a permis, sans doute, de survivre.

This website uses cookies to ensure you get the best experience on our website