Avec un peu d'amour, on fait de grandes choses. En deux années, mes voisins ont transformé cette bâtisse vosgienne à l'abandon en refuge. Du haut de mon banc et de mon grand âge, je viens chaque jour guetter les changements. Les trois premiers locataires sont aussi cabossés que moi. Un homme qui se remet d'un geste irréparable, une gamine fragile comme un moineau et une femme camouflant la misère sous sa légèreté.
Je savais qu'au contact des arbres, des bêtes et du jardin, ils allaient oublier leurs peines et s'offrir un nouveau destin. Quand ils ont fait cette découverte dans les taillis et qu'ils se sont mis à remuer le passé, je me suis demandé jusqu'où tout ça allait les mener. Eh bien, vous allez être sacrément surpris...
Au cours d'une embuscade en Cisjordanie, Cham, soldat israélien, est gravement blessé. Sous le choc, il perd tout repère et en oublie son nom. Deux Palestiniennes, Falastìn et Asmahane, lui sauvent la vie. C'est, pour lui, la traversée du miroir. Avec Palestine, Hubert Haddad nous livre un saisissant plaidoyer pour la paix et la tolérance.
Une enquête de la commissaire Maxime Tellier La commissaire Maxime Tellier se retrouve à devoir enquêter sur une série de meurtres particulièrement violents. Des femmes, entre quarante et cinquante ans, sont assassinées un peu partout en France suivant le même mode opératoire. Le seul point commun des victimes : la Normandie. Max n'a d'autre choix que de quitter sa juridiction parisienne pour collaborer avec les services de gendarmerie de Lisieux où une cellule de crise a été créée. Une fois sur place, Max comprend rapidement que la région n'est pas le seul élément déclencheur de ces meurtres. En parallèle, Max se retrouve acculée par un nouvel élément lié à une enquête nettement plus personnelle qu'elle mène depuis trente ans. L'assassin de sa mère vient de refaire surface...
Avec Les jumeaux de Piolenc (traduit en six langues et paru chez Hugo Thriller), Sandrine Destombes a remporté le Prix VSD RTL 2018 du meilleur thriller français, présidé par Michel Bussi.
Manger des oeufs de Pâques à s'en rendre malade, pousser le chariot de la nouvelle épicerie ou faire éclater un ballon au nez de M. Blédurt, le voisin, ça, c'est chouette comme tout ! Mais passer pour un guignol parce qu'on porte un pull-over avec des canards dessus, ça devrait être interdit... Heureusement, il y a toujours le Grand Cirque des Copains pour rigoler : oui, monsieur, c'est vrai, avec des galipettes et des cacahouètes à l'entrée !