BMR
Sarah Rivens

Captive Tome 1

ISBN: 9782017206934

80,000 TND

Quantité
Add to wishlist
En attente de réapprovisionnement

  Garanties sécurité

(à modifier dans le module "Réassurance")

  Politique de livraison

(à modifier dans le module "Réassurance")

  Politique retours

(à modifier dans le module "Réassurance")

Guarantee safe & secure checkout

Au sein des réseaux criminels, là où régnent puissance, meurtre et pouvoir, il y avait elles. Les captives. Dangereuses, malignes, et mortelles, elles sont les ombres des plus grands réseaux, les représentantes de leurs chefs, aussi appelés possesseurs. Depuis son adolescence, Ella est une captive contre son gré. John, son possesseur, préfère utiliser son corps plutôt que ses talents, plongeant sa vie dans un cauchemar éveillé. Jusqu'au jour où il lui annonce qu'elle va travailler pour quelqu'un d'autre... Si Ella pensait qu'il ne pouvait y avoir pire que John, elle réalise très vite que son nouveau possesseur joue dans une tout autre catégorie. Ce certain "Ash", leader charismatique du réseau des Scott, refuse la présence d'une captive à ses côtés. Pour une raison obscure, il voue une haine viscérale à ces femmes. Un jeu dangereux s'installe alors entre eux, car Asher entend bien faire payer Ella, mais celle-ci ne compte pas céder... "Ne joue pas avec le diable, mon ange, ne t'aventure pas dans ce que tu regretteras".

Editeur
BMR
Langue
français
Nombre de pages
560
Date de parution
2022
Auteur
Sarah Rivens

Nos lecteurs ont également choisi

L'un pour l'autre

16,800 TND
Availability: 7 In Stock

Louis, son frère, mort il y a dix ans. De longues années durant lesquelles elle a éprouvé l'exil du deuil. Puis, un lent glissement ébauché, un pas vers le difficile retour à soi, ce voyage nécessaire... Nathalie laisse naître en elle l'image d'un compagnon : ce sera l'acteur disparu Charles Denner, dont elle entreprend de retracer la silhouette avec l'intention, le besoin, de le ramener à la vie. Charles, Louis, deux figures que rien au fond ne distingue.Ce pourrait s'appeler un détour - à l'image de ce vouvoiement qu'elle adresse à Denner -, celui qu'imposent l'expérience de la perte de l'aimé, la fragilité et la pudeur du souvenir. S'il a forme d'autoportrait, ce détour est aussi un jeu de miroirs où les identités - celle du narrateur, celle des destinataires - alternent et s'altèrent, diffusant alentour la violence d'une douleur mêlée d'espoir.

This website uses cookies to ensure you get the best experience on our website