Dans la Chine d'autrefois, le seul rôle dévolu aux femmes de riches était celui d'épouse et de mère. Ce rôle, la fine et intelligente Ailien Wu ne le supporte plus. Pour y échapper, elle se servira très adroitement des traditions, celles-là mêmes qui l'avaient liée pendant si longtemps. Pavillon de femmes est le roman de Pearl Buck qui fait le mieux comprendre ce qu'était l'ancestrale Chine des grandes familles, mais c'est aussi tout le drame des rapports de l'homme et de la femme à chaque âge de la vie.
Pearl Sydenstricker (épouse Buck) est une femme de lettres américaine.
Ses parents, presbytériens partent pour la Chine alors qu'elle n'a que trois mois. Elle apprendra donc le mandarin avant l'anglais. En 1911 elle rentre aux États-Unis et obtient son diplôme du Randolph Macon Women’s College de Lynchburg en Virginie en 1914.
De retour en Chine, Pearl Sydenstricker, devient professeur d'anglais dans un lycée et épouse en 1917, John Lossing Buck, un missionnaire, ingénieur agronome américain, avec qui elle part à Suzhou, dans l'Est de la Chine.
Sur une place de Marrakech, un conteur relate l'histoire d'Ahmed, un homme au destin aussi troublant que fabuleux. Élevé dans le mensonge pour sauver l'honneur de son père, Ahmed n'a de masculin que le nom. Un sexe et une condition imposés qu'il finit par revendiquer : à vingt ans, il pousse le zèle jusqu'à s'unir à une fille délaissée, bientôt complice de sa vertigineuse descente aux enfers...
Écrivain d'origine marocaine mondialement connu, Tahar Ben Jelloun est né à Fez en 1944. Il a écrit des romans, des essais et des recueils de poésie. Il a obtenu le prix Goncourt pour La Nuit sacrée en 1987 et le prix international IMPAC en 2004 pour Cette aveuglante absence de lumière, également en Points.
" Une aventure qui semble sortie tout droit des Mille et Une Nuits. "