Un chat, attristé par la condition de son maître, un pauvre meunier, lui demande une paire de bottes. Ainsi chaussé, il rend régulièrement visite au roi à qui il fait de nombreux présents de la part de son maître, un certain marquis de Carabas. Un jour, le chat invite le meunier à se baigner dans une rivière et s'empare de ses vêtements. Il court aussitôt voir le roi afin qu'on donne à son maître des habits nobles et neufs. Puis le chat se rend chez l'ogre de la région et le pousse à une démonstration de ses pouvoirs. L'ogre se transforme en plusieurs animaux. Lorsqu'il se change enfin en souris, le chat le dévore et prend possession de son château... pour mieux l'offrir au marquis de Carabas !
Imaginez... Vous roulez en pleine nuit avec votre meilleur ami, tous feux éteints. Devant vous, un champ d'éoliennes désert. Soudain le choc, d'une violence inouïe. Un corps gît près de votre véhicule. À ses côtés, un sac de sport. Dedans, deux millions d'euros. Que feriez-vous ? Vigo et Sylvain, eux, ont choisi.
" Le rythme de ce récit est si haletant que Dantec et Grangé n'ont qu'à bien se tenir ! " Olivier Delcroix – Le Figaro
Cet ouvrage a reçu le prix des lecteurs Quais du polar et le prix SNCF du polar
Prix des lecteurs Quai du polar - 2006 Prix SNCF du polar français - 2007
Dans un cimetière abandonné, Nikodime creuse une cache pour y enfouir les richesses de l'Église russe. Rescapé des massacres de religieux commis par Staline en 1937, l'inflexible ermite, hanté par un obscur péché de jeunesse, a formé la confrérie des moines volants. Douze hommes qui éprouvent leur foi lors de périlleuses missions de sauvetage des plus beaux trésors de l'art sacré orthodoxe.
Écrivain francophone d'origine turque, Metin Arditi est l'auteur de nombreux essais et romans. Il s'est vu maintes fois récompensé, notamment pour son roman Le Turquetto, lauréat des prix Jean-Giono et Page des Libraires.
" Metin Arditi nous raconte avec talent l'histoire de cette troupe disparate de religieux errants et les tribulations des œuvres d'art qu'ils essayèrent de sauver au péril de leur vie. "
Le Figaro Magazine
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