LA DARK ROMANCE PHENOMENE ENFIN PUBLIEE ! Erato est la fille du chef d'un des plus puissants gangs de Californie. Mais pour cette jeune femme qui a grandi à l'écart de la mafia, ce monde reste un mystère. Rien ne l'avait préparée à devenir du jour au lendemain la cible des ennemis de son père. Sa vie bascule : forcée de quitter ses proches, elle emménage dans une villa isolée. Désormais, elle est sous la surveillance constante de son garde du corps attitré, le dangereux et énigmatique Caz.
Ce dernier ne comprend pas pourquoi on lui a confié cette mission. Depuis le temps qu'il fait partie des Bloody Reapers, il aspire à autre chose qu'à jouer les baby-sitters ! Et les provocations d'Era ne font que renforcer sa colère. Leur cohabitation ne pouvait pas plus mal commencer... Pourtant il n'est pas insensible au tempérament fougueux de la fille de son boss. Et de son côté, Era doit bien reconnaître que le jeune homme est terriblement séduisant.
Tiraillés entre une haine mutuelle et une attirance interdite, Era et Caz vont devoir apprendre à s'apprivoiser s'ils veulent l'emporter sur l'ennemi. Un pari risqué dont personne ne sortira indemne...
Le royaume des Sept Couronnes est sur le point de connaître son plus terrible hiver : par-delà le Mur qui garde sa frontière nord, une armée de ténèbres se lève, menaçant de tout détruire sur son passage.
Mais il en faut plus pour refroidir les ardeurs des rois, des reines, des chevaliers et des renégats qui se disputent le trône de fer.
Tous les coups sont permis, et seuls les plus forts, ou les plus retors, s'en sortiront indemnes...
La scène se passe dans un parc à Tokyo. Deux amis conversent sur le sens de la vie et sur l'étonnante longévité des Japonais. Un mot est alors lancé : ikigai, qui signifie littéralement " la joie d'être toujours occupé ". D'après les Japonais, nous possédons tous un ikigai, une raison d'exister, qui nous pousse à nous lever chaque matin et à être acteurs de notre vie. Comment ces " supercentenaires " définissent-ils leur ikigai et en quoi les guide-t-il au quotidien ? Quelles sont les habitudes à adopter pour mieux vivre ?
Dans un livre à mi-chemin entre le guide et le témoignage, les auteurs nous invitent à découvrir notre propre ikigai pour mener une vie longue et harmonieuse.
Dans un cimetière abandonné, Nikodime creuse une cache pour y enfouir les richesses de l'Église russe. Rescapé des massacres de religieux commis par Staline en 1937, l'inflexible ermite, hanté par un obscur péché de jeunesse, a formé la confrérie des moines volants. Douze hommes qui éprouvent leur foi lors de périlleuses missions de sauvetage des plus beaux trésors de l'art sacré orthodoxe.
Écrivain francophone d'origine turque, Metin Arditi est l'auteur de nombreux essais et romans. Il s'est vu maintes fois récompensé, notamment pour son roman Le Turquetto, lauréat des prix Jean-Giono et Page des Libraires.
" Metin Arditi nous raconte avec talent l'histoire de cette troupe disparate de religieux errants et les tribulations des œuvres d'art qu'ils essayèrent de sauver au péril de leur vie. "
Aux temps reculés de ce récit, la Terre est peuplée d'innombrables créatures : les Hobbits, apparentés à l'Homme, les Elfes et les Nains vivent en paix. Une paix menacée depuis que l'Anneau de Pouvoir, forgé par Sauron de Mordor, a été dérobé. Or cet anneau est doté d'un pouvoir maléfique qui confère à son détenteur une autorité sans limite et fait de lui le Maître du monde. Sauron s'est donc juré de le reconquérir...
Nouvelle édition revue et augmentée de compléments de textes traduits par Mirèse Akar. Préface à l'édition russe traduite par Laure Troubetzkoy en 1991
"J'allais mal ; tout va mal ; j'attendais la fin. Quand j'ai rencontré Victorien Salagnon, il ne pouvait être pire, il l'avait faite la guerre de vingt ans qui nous obsède, qui n'arrive pas à finir, il avait parcouru le monde avec sa bande armée, il devait avoir du sang jusqu'aux coudes. Mais il m'a appris à peindre. Il devait être le seul peintre de toute l'armée coloniale, mais là-bas on ne faisait pas attention à ces détails. Il m'apprit à peindre, et en échange je lui écrivis son histoire. Il dit, et je pus montrer, et je vis le fleuve de sang qui traverse ma ville si paisible, je vis l'art français de la guerre qui ne change pas, et je vis l'émeute qui vient toujours pour les mêmes raisons, des raisons françaises qui ne changent pas. Victorien Salagnon me rendit le temps tout entier, à travers la guerre qui hante notre langue." Alexis Jenni.
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