Un manoir majestueux : Manderley. Un an après sa mort, le charme noir de l'ancienne propriétaire, Rebecca de Winter, hante encore le domaine et ses habitants. La nouvelle épouse, jeune et timide, de Maxim de Winter pourra-t-elle échapper à cette ombre, à son souvenir ? Immortalisé au cinéma par Hitchcock en 1940, le chef-d'oeuvre de Daphné du Maurier a fasciné plus de trente millions de lecteurs à travers le monde.
Il fait aujourd'hui l'objet d'une traduction inédite qui a su restituer toute la puissance d'évocation du texte originel et en révéler la noirceur. Cette nouvelle traduction retranscrit remarquablement les atmosphères nimbées de mystère et l'ambiguïté - si chère à Hitchcock - des personnages, qu'ils soient morts ou vifs. Marine de Tilly, Le Point. Rebecca est un de ces romans qui hantent un esprit toute une vie.
Olivia Mauriac, Figaro Madame. Une excellente traduction qui permet de redécouvrir ce roman indémodable et subtil. Olivia de Lamberterie, Elle.
Gurb a disparu dans Barcelone, dissimulé sous les traits de Madonna. Précision : Gurb est un extraterrestre. Parti à sa recherche sous une apparence moins voyante, son coéquipier tient scrupuleusement le journal de ses observations. Une satire délirante et désopilante de notre monde moderne.
Eduardo Mendoza, auteur entre autres du Mystère de la crypte ensorcelée, La Ville des prodiges, L'Artiste des dames, est né à Barcelone en 1943. Son œuvre est traduite dans le monde entier. Il a reçu en France le prix du Meilleur Livre étranger en 1998 pour Une comédie légère.
" Un récit déjanté, heureux, impeccablement jubilant. Du burlesque pur. "
L'Abistan, immense empire, tire son nom du prophète Abi, "délégué" de Yölah sur terre. Son système est fondé sur l'amnésie et la soumission au dieu unique. Toute pensée personnelle est bannie, un système de surveillance omniprésent permet de connaître les idées et les actes déviants. Le peuple unanime vit dans le bonheur de la foi sans questions. Mais un homme, Ati, met en doute les certitudes imposées. Il se lance dans une enquête sur un peuple de renégats qui vit dans des ghettos, sans le recours de la religion. Au fil d'un récit plein d'inventions cocasses ou inquiétantes, Boualem Sansal s'inscrit dans la filiation d'Orwell pour brocarder les dérives et l'hypocrisie du radicalisme religieux.