Antigone est la tragédie grecque la plus célèbre, la plus achevée, et c'est la pièce qui représente le tragique de la condition humaine de la façon la plus saisissante. Du siècle de Périclès à celui de Néron, de Robert Garnier (1580) à Jean Anouilh (1944) et à Bertolt Brecht (1948), Antigone est restée vivante, actuelle, à travers les reprises et les adaptations. Cette édition commentée de la pièce originale tente de faire comprendre un succès si extraordinaire et de l'élargir au public contemporain. L'introduction analyse la nature de la tragédie grecque classique et situe la pièce de Sophocle dans cet ensemble de chefs-d'œuvre fondateurs. Le texte, dans la traduction du grand helléniste Paul Mazon, reçoit une présentation et une annotation nouvelles destinées à faire sentir la construction et les harmoniques de l'œuvre. Le commentaire est ensuite consacré à l'étude d'Antigone et de sa réception dans la littérature et la pensée occidentales.
Après avoir échappé de peu à la mort, Lisbeth Salander se remet difficilement de ses blessures dans une chambre d'hôpital. Incapable physiquement d'agir, elle a de surcroît été placée en isolement et sous surveillance policière, car elle est encore sous le coup de plusieurs chefs d'accusation. La voilà coincée, donc, mais pas inactive, d'autant qu'un patient soigné dans une chambre voisine a de très sérieux et très anciens comptes à régler avec elle...
De son côté, Mikael Blomkvist se démène pour innocenter et réhabiliter la jeune femme. Ses recherches lèvent le voile sur les plus inavouables activités de certains services secrets, mais les sombres personnages autour desquels se resserre son enquête ne vont pas se laisser menacer sans réagir.
Le troisième volume de «Millénium» promet poussées d'adrénaline, insoutenable suspense et scènes terribles, mais la pire épreuve pour le lecteur consistera à se séparer des personnages à la fin de ce dernier volet de l'irrésistible trilogie.
Iris a 36 ans et des idées noires plein la tête : ses parents viennent de disparaître dans un tragique accident et, en une seconde, toute sa vie a basculé. Par un après-midi froid et gris, elle songe même à en finir. Son regard se pose alors sur la devanture d'un café auquel elle n'avait jamais prêté attention auparavant. Son nom étrange, Le plus bel endroit du monde est ici, éveille sa curiosité. L'intérieur est plus intrigant encore, comme sorti d'un rêve. Tout y semble magique, à commencer par Luca, bel Italien porteur d'une promesse : le bonheur.
" Un roman qui sent le chocolat chaud et se lit comme un conte philosophique. " L'Est éclair
" Magique ! Un petit livre empreint de pensées positives et de poésie. Un vrai roman pour se faire du bien. " Metro (Belgique)