Lorsque Lewis se retrouve avec trois meilleurs amis en couple et une stagiaire à former pour la relève des Campus Drivers, son dernier semestre à la fac prend une allure de cauchemar. Sans compter que la stagiaire en question n'a rien de l'élève parfaite ! En débarquant dans une nouvelle université, Amy a promis à sa soeur de se tenir aussi loin que possible des ennuis. Alors, quand Lewis Conley lui propose une période d'essai en tant que chauffeur, c'est l'occasion rêvée de se ranger...
Et de passer du temps avec celui pour qui elle craque malgré elle. Mécanicienne hors pair, elle va devoir apprendre à ses dépends que la mécanique du coeur est encore plus complexe qu'il n'y paraît. Quant à Lewis, la course sauvage dans laquelle Amy va l'entraîner risque de le faire dévier de sa trajectoire toute tracée.
"Une semaine qu'elle tient. Une semaine qu'elle n'a pas cédé. Mais cette nuit, elle en a rêvé et n'a pas pu se rendormir. Un rêve moite, interminable, qui s'est introduit en elle comme un souffle d'air chaud. Adèle ne peut plus penser qu'à ça." Adèle semble heureuse avec Richard, le médecin qu'elle a épousé. Pourtant, elle ne peut s'empêcher de collectionner les conquêtes. Dans le jardin de l'ogre est l'histoire d'un corps esclave de ses pulsions que rien ne rassasie. Un roman féroce et viscéral sur l'addiction sexuelle et ses implacables conséquences.
D'Hannibal, on garde l'image formidable d'éléphants traversant les Alpes enneigées. Quelle épopée : plus de vingt mille kilomètres parcourus depuis l'Afrique, quinze années de combat contre Rome, puis vingt ans d'une fuite qui le conduira au Moyen-Orient ! En suivant le parcours du célèbre général, Paolo Rumiz donne corps à la légende, revisitant le présent de la Méditerranée à la lumière de son passé. Il nous offre le récit passionnant de notre identité.
"Souvent, depuis le début de notre relation, j'étais restée fascinée en découvrant au réveil la table non desservie du dîner, les chaises déplacées, nos vêtements emmêlés, jetés par terre n'importe où la veille au soir en faisant l'amour. C'était un paysage à chaque fois différent.Je me demande pourquoi l'idée de le photographier ne m'est pas venue plus tôt. Ni pourquoi je n'ai jamais proposé cela à aucun homme. Peut-être considérais-je qu'il y avait là quelque chose de vaguement honteux, ou d'indigne. En un sens, il était moins obscène pour moi de photographier le sexe de M.Peut-être aussi ne pouvais-je le faire qu'avec cet homme-là et qu'à cette période de ma vie."Annie Ernaux.