Le notaire, le médecin, la femme du pasteur : tout le monde y passe, y compris Jerry, un jeune citadin venu achever sa convalescence après un grave accident. La calomnie fait son oeuvre, le doute s'insinue, même si les accusations portées par le « corbeau » semblent extravagantes.Mais lorsqu'une lettre particulièrement odieuse provoque le suicide de l'honorable Mrs Symmington, on est contraint de se dire que l'anonyme, pour mal renseigné qu'il fût, a dû cette fois-ci toucher juste.Alors la petite communauté villageoise de Lymstock entre en ébullition.
Et il faudra l'intuition et la perspicacité inégalables de Miss Marple pour deviner le leurre disposé aux yeux de tous par un criminel des plus retors... $
Fanchon Fadette n'a pas bonne réputation au village. On prétend même que cette fillette laide et moqueuse est une sorcière. Malgré ces apparences trompeuses, la petite Fadette recèle pourtant un coeur d'or, et le beau Landry succombe à son charme. Mais leur amour rencontre bien des obstacles : la jalousie du frère jumeau de Landry, les médisances, la pauvreté de la jeune fille... La petite Fadette doit alors se résoudre à un grand sacrifice.George Sand dresse le magnifique portrait d'une héroïne fière et libre, en butte aux préjugés.
Pour faire comprendre les mécanismes du nazisme à ses élèves, Ben Ross, professeur d'histoire, crée un mouvement expérimental au slogan fort : " La Force par la Discipline, la Force par la Communauté, la Force par l'Action. " En l'espace de quelques jours, l'atmosphère du paisible lycée californien se transforme en microcosme totalitaire : avec une docilité effrayante, les élèves abandonnent leur libre arbitre pour répondre aux ordres de leur nouveau leader. Quel choc pourra être assez violent pour réveiller leurs consciences et mettre fin à la démonstration ?
" Ce best-seller, qui est devenu un manuel d'histoire en Allemagne et un film, souligne qu'il est facile de se transformer en petit fasciste du jour au lendemain. " Philippe Vallet – France Info
"Il y a dans son regard de la compassion, celle des chevaux qui voient les pauvres hommes aller d'une comédie à l'autre."Ils s'appellent Zingaro, Chaparro, Lautrec, Le Caravage... L'un fut sauvé in extremis de l'abattoir, un autre légué par un torero en déroute, un autre encore, racheté pour une poignée de pesetas à un maquignon véreux. Ces chevaux ont marqué la vie de Bartabas, célèbre fondateur du théâtre Zingaro. Grâce à leur complicité naturelle, il est devenu un écuyer d'exception, réalisant des prouesses qu'aucun artiste n'avait accomplies avant lui.Avec ce livre poignant, Bartabas nous entraîne dans les coulisses de ses spectacles et offre à ses compagnons de route leur plus beau tour de piste.