ghourfatou al kabou

ISBN: 9789938241877

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فارس عطاالله, الطالب المغرم بالحياة في مقتبلها , انتهى به المطاف قبل الأوان. ألفى نفسه مجتثا من مجتمعه, منبوذا في قبو بائس , بعد أن طحنته قسوة أبيه و خيانة حبيبته, و سحقته مشاعر الدونية و الهوان , فغرق بعدها في نهر من الذكريات . الشاب الذي تظنه قد سلم بالهزيمة كان ذا مخالب و أنياب , فالقط المحصور في الزاوية أكثر شراسة من ضبع البراري , لكنه كلما قرر الانتقام لم ينتقم إلا من نفسه , فمزق روحه شر ممزق , و انكفأ عليها يستلذ لعق دمها , و يذرف من قلمه حبرا أسود على جثتها ...

Editeur
دار مسكيلياني
Langue
arabe
Nombre de pages
268
Date de parution
2023
Auteur
لطفي العربي البرهومي

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Une chanteuse de boléro exilée à Miami suite à la révolution culturelle, un soldat déchiré entre son amour angolais et son épouse cubaine, une mère qui s'habille en noir avant qu'on lui annonce la mort de sa fille... Amours gâchés, nuits affriolantes et souvenirs entêtants. En treize nouvelles, nous sommes à Cuba, l'île qui habite les héros de Leonardo Padura.



Né en 1955 à La Havane, Leonardo Padura est romancier, essayiste, journaliste et auteur de scénarios. Il est notamment l'auteur de L'Automne à Cuba, Les Brumes du passé, L'homme qui aimait les chiens et Hérétiques, disponibles en Points.

" Leonardo Padura brasse avec un immense talent tous les sentiments qui font basculer dans l'érotisme le plus cru ou la fatalité résignée : solitude, désillusion, tendresse, amitié, amour, crainte ou nostalgie habitent ces textes ciselés dont chacun aurait pu donner lieu à un. "

Télérama

Traduit de l'espagnol (Cuba) par Elena Zayas

Mourir de penser

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"Ulysse en haillons est reconnu par son vieux chien Argos. La scène est bouleversante parce que aucun homme et aucune femme sur l'île d'Ithaque n'a encore reconnu Ulysse déguisé en mendiant : c'est son vieux chien, Argos, qui reconnaît cet homme tout à coup. Le premier être surpris à penser, dans l'histoire européenne, est un chien. Penser, c'est renifler la chose neuve qui surgit dans l'air qui entoure. C'est intuitionner au-delà des haillons, au-delà du visage barbouillé de noir, au sein de l'apparence fausse, au fond de l'environnement qui ne cesse de se modifier, la proie, une vitesse, le temps lui-même, un bondissement, une mort possible."

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