RAIHAT EL ANBAR

ISBN: 9789973194695

3,000 TND

Quantité
Add to wishlist
En stock

  Garanties sécurité

(à modifier dans le module "Réassurance")

  Politique de livraison

(à modifier dans le module "Réassurance")

  Politique retours

(à modifier dans le module "Réassurance")

Guarantee safe & secure checkout

إذا ما دعينا إلى اختزال هذه المجموعة القصصية الأولى في كلمات أكدنا أنها تتسم بالقصر في الغالب . فهي مقتصية اقتضاب اللحظات التي تكتنفها..

Editeur
Cérès éditions
Langue
arabe
Nombre de pages
80
Date de parution
2001
Auteur
منيرة رزقي

Nos lecteurs ont également choisi

L'enfant qui ne pleurait pas

31,100 TND
Availability: 1 In Stock

"Je pleure jamais. [...] Si je pleure pas, ils savent pas que j'ai de la peine. Alors ils peuvent pas me faire du mal. Personne peut me faire pleurer non plus. Même mon papa quand il me bat." À six ans, Sheila a déjà un lourd passé. Abandonnée par sa mère sur une aire d'autoroute, brutalisée par son père, elle ne connaît que la douleur et l'effroi. Le jour où elle bascule à son tour dans la violence en ligotant un camarade à un arbre pour y mettre le feu, elle est arrêtée par la police qui ne peut rien pour elle, pas plus que l'hôpital psychiatrique. C'est cette enfant sauvage, terrifiée et terrifiante, que Torey Hayden va petit à petit apprendre à apprivoiser et à aimer. Car derrière le masque de la peur se cache une petite fille intelligente et pleine de vie qui, en s'autorisant à pleurer, se donnera enfin le droit de rire.

L'un pour l'autre

16,800 TND
Availability: 7 In Stock

Louis, son frère, mort il y a dix ans. De longues années durant lesquelles elle a éprouvé l'exil du deuil. Puis, un lent glissement ébauché, un pas vers le difficile retour à soi, ce voyage nécessaire... Nathalie laisse naître en elle l'image d'un compagnon : ce sera l'acteur disparu Charles Denner, dont elle entreprend de retracer la silhouette avec l'intention, le besoin, de le ramener à la vie. Charles, Louis, deux figures que rien au fond ne distingue.Ce pourrait s'appeler un détour - à l'image de ce vouvoiement qu'elle adresse à Denner -, celui qu'imposent l'expérience de la perte de l'aimé, la fragilité et la pudeur du souvenir. S'il a forme d'autoportrait, ce détour est aussi un jeu de miroirs où les identités - celle du narrateur, celle des destinataires - alternent et s'altèrent, diffusant alentour la violence d'une douleur mêlée d'espoir.

This website uses cookies to ensure you get the best experience on our website