C'est la rentrée pour les jumeaux Marin et Marine ! Mais leur papa a choisi de les envoyer dans des écoles différentes : Marin à l'école de piraterie, alors qu'il déteste se battre, et Marine à l'école d'infirmière, alors qu'elle rêve de devenir pirate. Après une première journée catastrophique, les deux enfants ont une idée : et s'ils échangeaient leurs places ?
Après avoir passé la première épreuve de l'examen de sélection des ninjas de "moyenne classe", un examen écrit, naruto et ses camarades se rendent sur les lieux de la seconde épreuve : "la forêt de la mort". Ainsi commence une lutte sans merci afin de s'emparer du rouleau que possède chacune des équipes concurrentes...
"Je ne sais rien de mes origines. Je suis né à Paris de mère inconnue et mon père photographiait les héroïnes. Peu avant sa mort, il me confia que je devais mon existence à un baiser de cinéma." Photographe de plateau, le père de Gilles Hector a le don de pressentir chez les comédiens leurs moments d'abandon. Il sait saisir sur leurs visages une défaillance, une colère muette, la trace infime d'un incident de tournage. Après sa mort, Gilles hérite de sa sensibilité à la lumière, mais aussi de questions sans réponse. C'est alors qu'il retrouve Mayliss, croisée le jour de la mort de son père deux ans auparavant. Petit à petit, leur relation prend forme et Gilles vit à l'envers de sa vie... Éric Fottorino offre à son huitième roman des mots doux, presque fragiles, pour rendre hommage au cinéma, pour raconter un temps où l'amour peut encore apparaître comme un jeu risqué.
En 1550, une question agite la chrétienté : qui sont les Indiens ? Des êtres inférieurs qu'il faut soumettre et convertir ? Ou des hommes, libres et égaux ? Un légat envoyé par le pape doit en décider. Pour l'aider, deux religieux espagnols. Ginès de Sepúlveda, fin lettré, rompu à l'art de la polémique, et Bartolomé de Las Casas, prêtre ayant vécu de nombreuses années dans le Nouveau Monde. Le premier défend la guerre au nom de Dieu. Le second lutte contre l'esclavage des Indiens. Un face-à-face dramatique dont l'écho retentit encore.
" Avec la souveraine liberté du romancier, Jean-Claude Carrière met en scène la célèbre "dispute'. Son beau livre subtil et original est bâti avec un rare sens dramatique. " Paul-Jean Franceschini – L'Express