L'auteur avait tout d'abord pensé intituler ce roman L'âge lyrique. L'âge lyrique, selon Kundera, c'est la jeunesse, et ce roman est avant tout une épopée de l'adolescence ; épopée ironique qui corrode tendrement les valeurs tabous : l'Enfance, la Maternité, la Révolution et même - la Poésie. En effet, Jaromil est poète. C'est sa mère qui l'a fait poète et qui l'accompagne (immatériellement) jusqu'à ses lits d'amour et (matériellement) jusqu'à son lit de mort. Personnage ridicule et touchant, horrible et d'une innocence totale ("l'innocence avec son sourire sanglant" !), Jaromil est en même temps un vrai poète. Il n'est pas salaud, il est Rimbaud. Rimbaud pris au piège de la révolution communiste, pris au piège d'une farce noire.
Sasuke lance un assaut sur le Conseil. Le palais du pays du Fer devient alors le théâtre d'un terrible affrontement entre les Kage et le renégat, qui projette sa Lumière Céleste et active Susanô, le 3e Pouvoir !
Mais la puissance unifiée des Maîtres shinobis est immense, et bien vite, le jeune Uchiwa se trouve en mauvaise posture. C'est alors qu'apparaît Madara Uchiwa, qui va révéler devant une assemblée médusée ses terribles desseins !