

Un automne 1942, le monde partit en guerre depuis quelques années, et la Tunisie protectorat français depuis 1881 n’y échappera sans doute pas. La Marsa, dans la banlieue nord à une vingtaine de kilomètres de la capitale Tunis, située entre Carthage et les hauteurs de Gammarth, est un village de pécheurs et de cultivateurs. Haut lieu de villégiature en bord de mer, La Marsa est une bourgade ‘‘sous la protection’’ des saints Sidi Abdelaziz et Sidi Salah, enterrés tous les deux dans le quartier de Marsa Cubes. Entre La Marsa et Sidi Bou Saïd sur les terres de l’Archevêché, se trouve Sidi Dhrif le marabout des vignobles. En arrivant par la route de Tunis et avant d’accéder au village, le visiteur traverse les terres agricoles de Sidi Daoud un autre saint, mort d’après la parole populaire pendant la huitième croisade. Comme un écrin, les terres fertiles abritent le village maritime. En continuant sa route vers la mer, l’étranger arrive aux domaines se trouvant à proximité d’Ettabek.
Mohamad Amer Meziane est agrégé et docteur en philosophie. Il est actuellement chargé de recherches et enseignant à l'université Columbia de New York. Il est également membre du comité ...
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