تأخذ رواية "رحّالة" للروائية البولندية أولغا توكارتشوك (دار التنوير- ترجمة إيهاب عبد الحميد) في سردها صورة المذكرات اليومية. فالساردة التي لا تعلن اسمها عبر 524 صفحة ، تتناول أحداثاً شتى تتعلق بالولع بالسفر والانتقال من قارة إلى أخرى ومن ثقافة إلى ثقافة عبر حكايات لا رابط بينها سوى الراوي الذي ينقل حيناً ما يدور في نفسه من مشاعر مختلفة، وفي حين آخر قصصاً عن حكايات لآخرين، كان شاهداً عليها عبر رحلاته المتعددة. وهذا ما يعطي العمل طابعاً مفككاً قصدته الكاتبة، في آلية سرده، بسبب كثرة التنقل بين مواضيع وشخوص شتى
Avril 1945. Les Américains marchent sur l'Allemagne, sauvant Jakob et Emmanuelle d'un funeste destin au camp de Buchenwald. Ensemble, ils décident de tenter leur chance à New York, où l'amitié qui les unit se mue bientôt en amour. Des années plus tard, au prix d'un travail acharné, Jakob a fait fortune dans le diamant et a enfin mis les siens à l'abri. Il a aussi tenu à transmettre à son fils, Max, les valeurs qui lui tiennent à coeur. Ce dernier, diplômé de Harvard, est promis à un brillant avenir. Il choisit la femme parfaite pour fonder la famille idéale et accompagner sa réussite. Mais le succès a un goût amer et Max devra faire preuve de persévérance pour accepter son héritage et marcher dans les pas de son père...