11 septembre 2001. Au lendemain des attentats du World Trade Center, l'humanité, tétanisée, retient son souffle. Mars 2003. Guerre d'Irak, une nouvelle ère troublée s'ouvre au Moyen-Orient. À travers le regard d'hommes et de femmes - des chrétiens, des juifs, des musulmans -, nous assistons au démembrement d'un monde.
Cette fois, ce sont les extrémismes qui déplacent les pions et deux visions de l'humanité qui s'affrontent : l'archaïsme islamiste et le mirage occidental. Y aura-t-il un vainqueur ? Ou ne restera-t-il que des cendres ?
Une fresque fascinante, le dernier volume de la trilogie best-seller Inch'Allah.
Jeter une lumière sur les problèmes les plus sérieux et en même temps ne pas prononcer une seule phrase sérieuse, être fasciné par la réalité du monde contemporain et en même temps éviter tout réalisme, voilà La fête de l'insignifiance. Drôle de rire inspiré par notre époque qui est comique parce qu'elle a perdu tout sens de l'humour.
En 1903, Mary Mackenzie embarque pour la Chine où elle doit épouser Richard Collinsgsworth, l'attaché militaire britannique auquel elle a été promise. Fascinée par la vie de Pékin au lendemain de la Révolte des Boxers, Mary affiche une curiosité d'esprit rapidement désapprouvée par la communauté des Européens. Une liaison avec un officier japonais dont elle attend un enfant la mettra définitivement au ban de la société. Rejetée par son mari, Mary fuira au Japon dans des conditions dramatiques. À travers son journal intime, entrecoupé des lettres qu'elle adresse à sa mère restée au pays ou à sa meilleure amie, l'on découvre le passionnant récit de sa survie dans une culture totalement étrangère, à laquelle elle réussira à s'intégrer grâce à son courage et à son intelligence. Par la richesse psychologique de son héroïne, l'originalité profonde de son intrigue, sa facture moderne et très maîtrisée, Une odeur de gingembre est un roman hors norme.