"J'ai entrepris cet inventaire de la condition du Colonisé d'abord pour me comprendre moi-même et identifier ma place au milieu des autres hommes... Ce que j'avais décrit était le lot d'une multitude d'hommes à travers le monde. Je découvrais du même coup, en somme, que tous les colonisés se ressemblaient ; je devais constater par la suite que tous les opprimés se ressemblaient en quelque mesure."Et Sartre d'écrire : "Cet ouvrage sobre et clair se range parmi les "géométries passionnées" : son objectivité calme, c'est de la souffrance et de la colère dépassée."Cet essai est devenu un classique, dès sa parution en 1957 : il soulignait combien les conduites du colonisateur et du colonisé créent une relation fondamentale qui les conditionne l'un et l'autre.
"Cet ouvrage sobre et clair se range parmi "les géométries passionnées" : son objectivité calme, c'est de la souffrance et de la colère dépassée." Jean-Paul Sartre.
Il faut parfois toute une vie pour apprendre à marcher...
Certaines rencontres peuvent-elles changer le cours d'une existence ? Assurément. Une extraordinaire leçon de vie attend Paul Lamarche, Paul qui pense que réussir sa vie, se résume à... réussir. Un Noir américain à la carrure d'athlète rencontré en prison et un puissant homme d'affaires japonais qui parle de cerisiers et de poussières, d'autres encore, lui permettront enfin de comprendre que l'on ne réussit que lorsque l'on se met debout. Paul admettra enfin que les peurs ont mené sa vie jusque-là. On ne peut marcher que lorsqu'on dépasse les craintes qui nous entravent tous et nous empoisonnent. La vie est au bout du chemin. Un roman tour à tour parabole moderne de la découverte de soi, récit d'une amitié profonde et histoire d'amour incandescente.