Après la mort de son père, Annie Ernaux retrace la vie de cet ancien ouvrier devenu cafetier, qui avait conquis sa «? place?" dans la? société. À travers ce récit biographique, l'auteure-narratrice évoque ses origines modestes et ses propres souvenirs. Elle tente aussi, par l'écriture, de combler la douloureuse distance qui s'était creusée entre son père et elle? : un hommage plein de justesse et de pudeur.
Merit Voss est une fille un peu bizarre. Elle collectionne, par exemple, des trophées qu'elle n'a pas gagnés. C'est en voulant en acquérir un nouveau dans une brocante qu'elle fait la connaissance d'un séduisant jeune homme : Sagan. Il lui plaît immédiatement mais elle va vite réaliser que l'alchimie qu'elle a perçue entre eux a peu de chances de se développer.
Rien n'est jamais simple dans la famille Voss. Son père et sa mère sont séparés officiellement mais vivent encore sous le même toit, celui d'une église désaffectée. Elle supporte mal l'ambiance qui y règne entre des parents qui semblent l'ignorer et des frères et soeur dont elle se sent de moins en moins proche.Mais le pire est peut-être à venir quand elle découvre que les apparences sont parfois trompeuses.
Quand la vérité se dévoile, lorsque des secrets bien gardés commencent à émerger, Merit est confrontée à une tâche difficile : remettre toutes ses certitudes en question.
"Il y a dans son regard de la compassion, celle des chevaux qui voient les pauvres hommes aller d'une comédie à l'autre."Ils s'appellent Zingaro, Chaparro, Lautrec, Le Caravage... L'un fut sauvé in extremis de l'abattoir, un autre légué par un torero en déroute, un autre encore, racheté pour une poignée de pesetas à un maquignon véreux. Ces chevaux ont marqué la vie de Bartabas, célèbre fondateur du théâtre Zingaro. Grâce à leur complicité naturelle, il est devenu un écuyer d'exception, réalisant des prouesses qu'aucun artiste n'avait accomplies avant lui.Avec ce livre poignant, Bartabas nous entraîne dans les coulisses de ses spectacles et offre à ses compagnons de route leur plus beau tour de piste.
De retour à la base, tout en se remettant de sa blessure presque fatale, le fils du dictateur, Warner, doit contrôler ses soldats et réprimer toute forme de rébellion dans le secteur qu'il dirige. Toujours aussi obsédé par la fuite de Juliette, il veut avant tout la retrouver, quoi qu'il lui en coûte. Il n'a pas non plus oublié ceux qui ont permis l'évasion de la jeune fille, Adam et Kenji, à qui il compte bien faire payer cher leur trahison. Mais quand le Commandant Suprême, le père de Warner, arrive pour corriger les erreurs de son fils, il est clair que le sort de Juliette ne lui tient pas tant à cœur. Warner ne peut pourtant pas courir le risque de perdre celle qu'il considère comme la clef de voûte de son plan de victoire secret... À la suite de Ne me touche pas, ce deuxième tome est raconté du point de vue de Warner, l'impitoyable leader du secteur 45 que nous adorons détester.
Pour parvenir à ses fins, Sasuke n'hésite pas à enrôler dans son unité Jûgo, le porteur naturel de la marque maudite ! Mais Konoha et Akatsuki, qui suivent de près les manoeuvres du jeune renégat, renforcent leur dispositif de défense.
Naruto se met en marche à la tête d'une nouvelle unité chargée de localiser Itachi, la cible de Sasuke !!