"La peste soit de l'avarice et des avaricieux ! " ... Car tous ceux qui ont le malheur de fréquenter Harpagon ont à se plaindre de lui, tous ont à subir la tyrannie de ce vieillard irascible rongé par le désir de posséder toujours plus d'argent et d'en dépenser le moins possible. Harpagon refuse à ses enfants des mariages d'amour et impose à tous les pires supplices au nom de cet argent qu'il entasse dans sa "chère cassette" .
Mais un jour, la cassette disparaît... - Le texte intégral annoté - Des questionnaires au fil du texte - Des documents iconographiques exploités - Une présentation de Molière et de son époque - Un aperçu du genre de la comédie classique - Un groupement de textes : "De l'avarice et des avaricieux"
Caroline Coldefy a connu l'enfer des dépendances, des lignes de cocaïne au besoin de l'autre pour exister. Au cours d'une retraite dans un monastère, elle ressent une connexion profonde avec une puissance qui la dépasse. C'est le début d'une quête intérieure et spirituelle qui la mènera vers elle-même.
Elle croise ici son propre témoignage avec celui de personnalités et d'anonymes qui confient les particularités d'un éveil spirituel à l'âge adulte. Il n'y est pas question de religion, mais des chemins du cœur.
Caroline Coldefy est journaliste, rédactrice en chef de magazines pour la télévision et animatrice radio.
" Si je ne m'étais pas réveillé un jour en me disant que quelque chose n'allait pas dans ma vie, il y a certains films un peu " risqués " que je n'aurais pas eu le courage de faire. " Bernard Campan
HAMLET Voici l'heure sinistre de la nuit, L'heure des tombes qui s'ouvrent, celle où l'enfer Souffle au-dehors sa peste sur le monde. Maintenant je pourrais boire le sang chaud Et faire ce travail funeste que le jour Frissonnerait de voir... Mais, paix ! D'abord ma mère. Oh, n'oublie pas, mon coeur, qui elle est. Que jamais Une âme de Néron ne hante ta vigueur ! Sois féroce mais non dénaturé. Mes mots seuls la poignarderont ; c'est en cela Que mon âme et ma voix seront hypocrites ; Mon âme ! aussi cinglantes soient mes paroles, Ne consens pas à les marquer du sceau des actes ! (Acte III, scène II).