Colette se propose, d'abord, au lecteur comme la souveraine d'un royaume sensible, la reine des choses prochaines, un écrivain de la nature. Pourtant (elle) n'est pas orientée vers la campagne à la manière des romanciers paysans. La campagne de Colette est une campagne pour citadines, une campagne dont les baumes cicatrisent les plaies du coeur. Rien ne viendra à bout d'une certitude solidement appuyée sur la terre, d'une confiance animale dans la vie qui assurera toujours en fin de compte, le ressaisissement et la reconquête de soi.
Colette connaît la souffrance, et la fin inexorable de toutes choses heureuses , elle les accepte l'une et l'autre, sûre d'une complicité secrète du monde, du chat qui dort près du feu, les pattes en manchon, de l'acidité des fruits sauvages dans les souvenirs d'enfance. Accepter est déjà la source d'une satisfaction mystérieuse. Thierry Maulnier.
Conçue par le psychohistorien Hari Seldon pour restreindre l'ère de chaos résultant de la décadence de l'Empire galactique, la Fondation est désormais aux mains du Mulet, un mutant imprévisible ...
Le jeune Will, à la recherche de son père disparu depuis de longues années, croit avoir tué un homme. Dans sa fuite, il franchit la brèche qui lui permet de passer dans un monde parallèle. Là, à ...
Teppoge, le gardien de l'Ombril, s'inquiète. De plus en plus de personnes se défont de leurs ombres, ils n'en veulent plus, elles les encombrent. Même l'homme à la mallette est prêt à payer pour ...