S’il est vrai que l’histoire des peuples et des nations est souvent construite sur des mythes et des mensonges, il ne faudrait surtout pas que la jeune génération de chercheurs tunisiens emprunte voie. Car si réconciliation il doit y avoir, en ce pays, elle doit refermer les vielles blessures ouvertes et souvent purulentes. Telle est la condition sine qua non d’une réconciliation qui vise à consolider les bases d’une construction nationale.