Inde, 1921. Perveen Mistry a rejoint le cabinet d'avocats de son père, devenant la toute première femme avocate en Inde. Un statut qui ne manque pas de faire débat... Mais quand une malédiction semble s'abattre sur la famille royale de Satapur, un petit Etat princier pratiquant la purdah, la séparation stricte des femmes et des hommes, elle est la seule à pouvoir mener l'enquête. Le maharadjah et son fils aîné sont morts brutalement l'un après l'autre dans des circonstances étranges. Alors que la maharani douairière et sa belle-fille se disputent le contrôle du jeune prince héritier, Perveen se retrouve au coeur de dangereux jeux de pouvoir. Entre jalousies anciennes et vendettas meurtrières, saura-t-elle protéger les enfants royaux ? Un mystère captivant qui nous entraîne dans l'Inde du début du XXe siècle et met en lumière la place qu'y occupent les femmes.
Comme tous les étés, la fille qui ne dit pas son nom se retrouve au bord de la mer. Chaque jour, elle écrit une lettre au garçon qu'elle aime. Elle raconte : la plage, le bateau, les parents, le garçon d'à côté, la chatte. Mais ses lettres restent sans réponse. Alors...
Il n'a pas de nom. Il ne parle pas. Le garçon est un être quasi sauvage, né dans une contrée aride du sud de la France. Du monde, il ne connaît que sa mère et les alentours de leur cabane. Nous sommes en 1908 quand il se met en chemin - d'instinct. Il rencontre alors les
habitants d'un hameau perdu, puis Brabek l'ogre des Carpates, philosophe et lutteur de foire, et découvre l'amour charnel avec Emma, mélomane lumineuse. Viendra ensuite la guerre, l'effroyable carnage, paroxysme de la folie des hommes et de la civilisation. À sa façon singulière, radicale, drôle, grave, Le garçon est l'immense roman de l'épreuve du monde.
La domination masculine est tellement ancrée dans nos inconscients que nous ne l'apercevons plus, tellement accordée à nos attentes que nous avons du mal à la remettre en question.
La description ethnographique de la société kabyle, conservatoire de l'inconscient méditerranéen, fournit un instrument puissant pour dissoudre les évidences et explorer les structures symboliques de cet inconscient androcentrique qui survit chez les hommes et les femmes d'aujourd'hui.
Mais la découverte des permanences oblige à renverser la manière habituelle de poser le problème : comment s'opère le travail historique de déshistorisation ? Quels sont les mécanismes et les institutions, Famille, Église, École, État, qui accomplissent le travail de reproduction ? Est-il possible de les neutraliser pour libérer les forces de changement qu'ils entravent ?
Pierre Bourdieu (1930-2002)
Professeur de sociologie au Collège de France, il a écrit de nombreux ouvrages qui ont une influence majeure dans les sciences sociales aujourd'hui.
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