يعتبر هذا الكتاب أول ترجمة للعربية لكتاب نعيمة برادة كنون والذي صدر بالفرنسية سنة 2022 بمناسبة الرباط عاصمة الثقافة في العالم الاسلامي . ولمزيد اشعاع هذا المؤلف القيم لو تكلمت حيطان فاس والذي حصل على وسام اللجنة الوطنية للتربية والعلوم والثقافة المغربية ، تتنزل هذه الترجمة الموجهة لكل العالم العربي .
إنه العمل المفيد للذاكرة الجماعية ، والموجه للجامعيين والصحافيين والسياسيين ، وكذلك للطلبة وعموم القراءة . لجنة المركز الوطني لتنسيق البحث العلمي والتقني ـ المغرب ( CNRST ) .
<< يعتبر هذا الكتاب لو تكلمت حيطان فاس عملا أدبيا وسوسيولوجيا وتأريخيا ... >> . لجنة المنظمة الإسلامية للتربية والعلوم والثقافة ( ICESCO ) .
"Je ne suis pas nostalgique de notre enfance : elle était pleine de violence. C'était la vie, un point c'est tout : et nous grandissions avec l'obligation de la rendre difficile aux autres avant que les autres ne nous la rendent difficile." Elena et Lila vivent dans un quartier pauvre de Naples à la fin des années cinquante. Bien qu'elles soient douées pour les études, ce n'est pas la voie qui leur est promise. Lila abandonne l'école pour travailler dans l'échoppe de cordonnier de son père. Elena, soutenue par son institutrice, ira au collège puis au lycée. Les chemins des deux amies se croisent et s'éloignent, avec pour toile de fond une Naples sombre, en ébullition. L'amie prodigieuse, Le nouveau nom et Celle qui fuit et celle qui reste sont les trois premiers tomes de la saga d'Elena Ferrante, qui se conclut avec L'enfant perdue.
A la fin des années 20, Orwell tombe brusquement dans la misère. À Paris puis à Londres, il découvre le quotidien des petits ouvriers et des laissés-pour-compte, tenaillés par la faim et rongés par l'alcool. Sans voyeurisme ni complaisance, il dresse un portrait vivant de ces habitués du mont-de-piété où l'espoir et l'infortune se livrent un duel épique.
" Un documentaire picaresque, d'une précision photographique, sur une Europe qui vivait encore à l'heure de Dickens, à des années-lumière de l'État-providence et de nos lois sociales. On en mesure tout le prix, à la lecture de cet admirable reportage. " Jean-Baptiste Michel, L'Express