Une charge "à la Reich" contre notre ahurissante capacité à fabriquer notre propre malheur. "Ecoute, petit homme ! ", écrit en 1945, est l'aboutissement de tempêtes et luttes intérieures d'un psychanalyste qui a observé, pendant des décennies, d'abord en spectateur naïf, puis avec étonnement, et enfin avec horreur, ce que l'être humain s'inflige à lui-même, comment il souffre et se révolte, comment il admire ses ennemis et assassine ses amis ; comment – au moment même où il accède au pouvoir en assumant la fonction de représentant du peuple – il abuse de sa puissance et la rend pire que celle dont auparavant il avait à souffrir de la part de certains sadiques des classes supérieures.
La scène se passe dans un parc à Tokyo. Deux amis conversent sur le sens de la vie et sur l'étonnante longévité des Japonais. Un mot est alors lancé : ikigai, qui signifie littéralement " la joie d'être toujours occupé ". D'après les Japonais, nous possédons tous un ikigai, une raison d'exister, qui nous pousse à nous lever chaque matin et à être acteurs de notre vie. Comment ces " supercentenaires " définissent-ils leur ikigai et en quoi les guide-t-il au quotidien ? Quelles sont les habitudes à adopter pour mieux vivre ?
Dans un livre à mi-chemin entre le guide et le témoignage, les auteurs nous invitent à découvrir notre propre ikigai pour mener une vie longue et harmonieuse.