De l'Allemagne (1813) naît de l'exil de Mme de Staël, chassée de Paris en 1803 après la parution de son premier roman Delphine, condamné par Napoléon. Convertissant cette sanction en opportunité de voyage, cette intellectuelle passionnée part à la découverte d'elle-même et de ce pays fantasmé.
Dans ce second volet, l'auteur poursuit sa réflexion sur les arts entamée dans le précédent volume. Par son engagement total pour la liberté, elle aborde avec une modestie inquiète la philosophie, «moule universel» dans lequel se coulent la littérature, la morale et la société.
En faisant l'éloge de l'ailleurs, Mme de Staël dénonce avec vigueur l'épuisement et la stérilité des lettres françaises et fait l'apologie de l'enthousiasme sous toutes ses formes.
Parce qu'elle prône la puissance du sentiment et donne congé à l'esthétique classique, elle livre un ouvrage résolument romantique. Lamartine, Gérard de Nerval et bien d'autres lui seront redevables de cette initiation à la culture d'outre-Rhin. La littérature française accomplira avec eux ce que De l'Allemagne préconisait.
Après avoir trouvé le masque du dieu de la mort dans le sanctuaire aux masques des Uzumaki, Sasuke, Orochimaru, Suigetsu et Juugo retournent à Konoha et effectuent un rituel qui permettra à Orochimaru d'utiliser la technique de l'edotensei et ainsi ramener à la vie les quatre précédents Hokage : Hiruzen Sarutobi, Hashirama Senju, son frère Tobirama et le père de Naruto Minato Namikaze !
Allons-nous enfin en savoir plus sur les origines de Konoha ?