في قصر فخم في نيويورك، في العشرينيات من القرن الماضي، يعيش المليونير الغامض «جاي جاتسبي» في الترف والرفاهة، ويقيم حفلات أسطورية باذخة يتهافت إليها المدعوون والمتطفلون. ولكن في قلب هذا الصخب، يبقى المضيف وحيدًا، تواقًا إلى حبه الضائع، غير معني إلا بإبهار شخص واحد: «ديزي بوكانان». رواية اجتماعية مذهلة، تجسد الحلم الأمريكي في «العشرينيات الذهبية»، بلمعانه المفرط وإخفاقه المحتوم، مسلطة الضوء على الصراع بين المال والحب، بين السلطة والإخلاص. رائعة أدبية تتميز بلغة فريدة وشاعرية، تسطع كل أنوارها في ترجمة محمد مستجير مصطفى البديعة، التي تفي النص الأصلي حقه بشكل لا يُعلى عليه. يتم اختيار هذه الرواية بشكل مستمر في قوائم أفضل وأهم الروايات في تاريخ الأدب العالمي، كما أنتجت سينمائيًّا عدة مرات.
Après des mois de recherches, Suzie Baker retrouve enfin l'épave d'un vieux Boeing emprisonné sous les glaces du mont Blanc. À l'intérieur de la carlingue repose un document qui pourrait rendre justice à sa famille accusée de haute trahison. Mais cette découverte compromettante réveille les réseaux parallèles des services secrets américains. À New York, le reporter Andrew Stilman se remet à peine de l'agression qui a failli lui coûter la vie. Mais l'histoire de Suzie Baker est si belle, ce qu'elle implique si énorme, qu'elle vaut peut-être le coup de risquer sa peau une deuxième fois... Traqués, manipulés, Suzie et Andrew devront déjouer pièges et illusions, jusqu'à toucher du doigt l'un des secrets les mieux gardés de notre temps.
" Marc Levy prouve une fois de plus son indéniable talent de conteur. L'histoire, efficace, offre un réel plaisir de lecture. " Le Figaro
" En flirtant avec l'espionnage, la géopolitique et l'écologie, Marc Levy farbique une ambitieuse démonstration de manipulation mondiale sans cesse relancée par la nervosité des dialogues. C'est sa grande force. " Pierre Vavasseur – Le Parisien
"L'Antigone de Sophocle, lue et relue et que je connaissais par coeur depuis toujours, a été un choc soudain pour moi pendant la guerre, le jour des petites affiches rouges. Je l'ai réécrite à ma façon, avec la résonance de la tragédie que nous étions alors en train de vivre." Jean Anouilh.