Comme celle de topaze, la devise de Neila Ben Harbia est: je suis enseignante, c'est-à-dire qu'en dehors d'une salle de classe je ne sais rien faire. Cela résume toute sa carrière qui a commencé en 1970 et s'est achevée en 2004.
elle met dans cet ouvrage son coeur et sa lancinante nostalgie, en espérant que ses jeunes collègues tireront profit de sa longue expérience.
Nagisa laisse exploser sa colère face à Takaoka qui vient de détruire l'antidote devant ses yeux. Mais, en attaquant de front, le jeune garçon ne peut utiliser ses techniques d'assassinat et se retrouve vite dominé. La technique fatale que lui a enseignée Lovro pourra-t-elle renverser la situation ?
Après douze ans d'exil, son navire est enfin arrivé. La mer l'appelle. Bientôt, Almustafa reverra son île natale. Mais il ne quittera pas la cité d'Orphalèse sans dispenser à son peuple les enseignements de sa profonde sagesse. Chercheur d'absolu, à l'heure du départ, il se fait poète et prophète. Amour, mariage, liberté, travail, mort... " Ce qui bouge en nos âmes " n'a pas de secret pour lui, qui connaît les rêves du vent et le cœur de Dieu. Joignons-nous au peuple d'Orphalèse. Et tendons l'oreille...
"Il y a dans son regard de la compassion, celle des chevaux qui voient les pauvres hommes aller d'une comédie à l'autre."Ils s'appellent Zingaro, Chaparro, Lautrec, Le Caravage... L'un fut sauvé in extremis de l'abattoir, un autre légué par un torero en déroute, un autre encore, racheté pour une poignée de pesetas à un maquignon véreux. Ces chevaux ont marqué la vie de Bartabas, célèbre fondateur du théâtre Zingaro. Grâce à leur complicité naturelle, il est devenu un écuyer d'exception, réalisant des prouesses qu'aucun artiste n'avait accomplies avant lui.Avec ce livre poignant, Bartabas nous entraîne dans les coulisses de ses spectacles et offre à ses compagnons de route leur plus beau tour de piste.