Une étrange guerre magique a maintenant commencé entre Ombrune et le Territoire des Addraks. À la Citadelle Noire, Nyne, Antos et Anya ont retrouvé Cham et son dragon blanc. Ensemble et armés de Ténébreuse, la redoutable épée ensorcelée, ils s'apprêtent à affronter Darkat et son terrible schrik. Pendant ce temps, dans les marécages, on attend l'arrivée imminente de l'armée d'Ombrune conduite par ses vingt-sept dragons. Mais les sorciers, qui ne sont plus dupes des maléfices lancés par Dhydra et le Libre Peuple, partent déjà à l'assaut de leurs ennemis...
20 mars 1995. Des disciples de la secte Aum lâchent du gaz sarin dans le métro de Tokyo. Qu'est-ce qui fait qu'une telle folie survient dans le quotidien le plus banal ? Comment est-il possible d'être endoctriné au point de commettre un tel crime ? Regroupant les témoignages de blessés mais aussi de disciples de la secte, Haruki Murakami cherche à comprendre. Victimes et coupables sont-il vraiment si différents que les seconds soient considérés comme le diable en personne ? Et si les fanatiques d'Aum n'étaient finalement que l'effrayant miroir de ce dont nous sommes tous capables ? Avec ce livre dérangeant, Haruki Murakami développe les thèmes qui lui sont chers – l'étrangeté au monde, le culte du leader, le mal venu des profondeurs -, et livre une des pièces maîtresses de sa réflexion sur l'être humain.
D'année en année, le culte jaloux qui entourait Le Seigneur des Anneaux à sa publication dans les années 1950 s'est transformé en succès universel. Les Hobbits, ce " peuple effacé mais très ancien " qui vivait quelque part au nord-ouest de l'Ancien Monde, nous sont devenus aussi familiers que les héros des contes de fées ou ceux des grandes épopées, avec Bilbo, Gandalf, Bombadil ou Galadriel et tous les habitants de la Terre du Milieu. Magistralement restitués par son fils après la mort de J.R.R. Tolkien, les Contes et Légendesinachevés du Premier Âge prolongent et élargissent l'œuvre de l'inépuisable conteur.
Entre les Longeverne, menés par Lebrac, et les Velrans, du village voisin, la guerre est aussi acharnée qu'immémoriale. Mais, le jour où les Velrans surprennent Grangibus et Tigibus dans le bois et les apostrophent d'une insulte jusque-là inconnue des Longeverne, pourtant experts en jurons fleuris, la guerre prend un tour nouveau.