"Les expériences auxquelles va se livrer Éluard entre Le devoir et l'inquiétude (1917) et Les dessous d'une vie (1926) n'ont pas pour but d'affirmer l'originalité ou la virtuosité d'un écrivain, d'aiguiser ou de souligner sa singularité, ni de créer "un frisson nouveau" pour les "connaisseurs". Éluard n'est pas non plus à cette époque "à la recherche de lui-même", comme on dit. Tout se passe au contraire comme s'il s'était trouvé d'emblée, en même temps qu'il prend congé de Grindel pour adopter le nom de sa grand-mère. La voix la plus éluardienne se fait entendre dès le début, inimitable comme eau de source, effervescente de limpidité, volubiles et lisses vocalises de bulles d'oxygène naissant."Claude Roy.
L'ex-shinobi, Ao, se dresse devant Boruto et ses amis ! Boruto et les autres ne peuvent rien faire contre le puissant AO doté d'outils scientifiques ninjas. Boruto a-t-il un plan pour sortir de cette situation désespérée ?
Sur les glaces sauvages de l'extrême Norvège, dans le clair de lune, une jeune femme trône en déesse obscure. Enfant recluse, responsable de l'accident qui emporta sa mère sous ses yeux, elle grandit loin de tous, poursuivie par le cri des ombres. Elle est Dina, Ève brûlante, éternelle indomptée qui chevauche à travers vents et livre au monde sa litanie furieuse.
" Un long poème épique nourri de Bible et traversé par les bourrasques, tels les orages d'un Giono nordique. Un livre qui ferait un poète de n'importe quel lecteur et qui, la dernière page tournée, lui insuffle sa force et sa vérité. " Ingrid Carlander, Le Monde diplomatique